Je lis Kenneth White doucement pour qu’il m’en reste toujours à découvrir, tout n’est pas nécessairement de génie à chaque page, mais sa compagnie littéraire insolente et réfractaire demeure inestimable. Ici, dans Les cygnes sauvages, «voyage-haïku» de 1990 traduit par sa femme Marie-Claude White, il se met dans les pas de Basshô, le poète japonais …
