Ce court texte d’amour et de béances, fracassé et inattendu, suppure de références explicites pour les amateurs de dingueries du plat pays. Il s’avère bien moins gratuit que son postulat d’ouverture et ses poses cavalières ne le laissent supposer.

Creuse, trouve
Ce court texte d’amour et de béances, fracassé et inattendu, suppure de références explicites pour les amateurs de dingueries du plat pays. Il s’avère bien moins gratuit que son postulat d’ouverture et ses poses cavalières ne le laissent supposer.
En 2012, Patrick Tudoret écrivit une « flânerie » puissante inspirée par Marcel Moreau, qui nous a quittés le 4 avril dernier. Il me permet de le reproduire ici en intégralité. Qu’il en soit à nouveau vivement remercié.