Charles ! Voyons… – À peine à propos de Mon coeur mis à nu, de Charles Baudelaire

[et_pb_section fb_built= »1″ theme_builder_area= »post_content » _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default »][et_pb_row _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » type= »4_4″ theme_builder_area= »post_content »][et_pb_text _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″] « Charles, je vais te traquer, je vais te retrouver, et je vais te faire du mal. » Fut ma première (ré)impression à la relecture de Mon cœur mis à nu. Dénichant ce petit trésor d’édition de 1945 …

« Le secret, c’est de ne jamais accélérer » | Heptanes Fraxion, Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles

Il y a quelques mois, bien entouré d’autres, j’ai lu ce poème Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles. J’ai pensé me faire tatouer le titre sur le bras, comme une bravade mystérieuse vers des ennemis invisibles et des copains imaginaires. Mais son auteur, l’étrange et magnétique Toulousain de la casse, Heptanes Fraxion, m’a suggéré …