La poète uruguayenne Ida Vitale fête aujourd’hui ses 100 ans. Ni plus ni moins ! Mystères « Quelqu’un ouvre une porte et reçoit l’amour en plein cœur. Quelqu’un qui dort en aveugle, en sourdine, en conscience, trouve dans son rêve scintillant un signe cherché en vain durant la veille. Il allait par des rues inconnues, …
Charles ! Voyons… – À peine à propos de Mon coeur mis à nu, de Charles Baudelaire
[et_pb_section fb_built= »1″ theme_builder_area= »post_content » _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default »][et_pb_row _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » type= »4_4″ theme_builder_area= »post_content »][et_pb_text _builder_version= »4.22.1″ _module_preset= »default » theme_builder_area= »post_content » hover_enabled= »0″ sticky_enabled= »0″] « Charles, je vais te traquer, je vais te retrouver, et je vais te faire du mal. » Fut ma première (ré)impression à la relecture de Mon cœur mis à nu. Dénichant ce petit trésor d’édition de 1945 …
Soulever les tombes – Edgar Lee Masters, Des voix sous les pierres
Ces traits tantôt fulgurants et mystiques, tantôt pragmatiques et cocasses, fiers et farouches, désespérés ou résignés, montent des pierres chaudes en une brume bruissant des ruminations de ces gentils fantômes stupéfaits de leur sort.
« Ah ! la lumière d’Harkness ! » – Malcolm Lowry, Le phare appelle à lui la tempête
« La poésie du « nonsense » dit partout chez lui un désir d’enfance et de pureté, désir de régression à l’infini déjà sensible au fond du romantisme des lacs. » Jacques Darras, préface.
L’homme aux virgules de feu – José Carlos Becerra, Comment retarder l’apparition des fourmis
Puis José Carlos Becerra, ce Mexicain qui vivait « les doigts dans la flamme » pour reprendre le titre d’Octavio Paz, prit le virage de cette route d’Italie, en mai 1970, et abandonna ses trente-trois ans sur la chaussée comme une mue devenue trop petite, le manuscrit de Comment retarder l’apparition des fourmis dans la carcasse accidentée.
« Le secret, c’est de ne jamais accélérer » | Heptanes Fraxion, Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles
Il y a quelques mois, bien entouré d’autres, j’ai lu ce poème Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles. J’ai pensé me faire tatouer le titre sur le bras, comme une bravade mystérieuse vers des ennemis invisibles et des copains imaginaires. Mais son auteur, l’étrange et magnétique Toulousain de la casse, Heptanes Fraxion, m’a suggéré …