On voit ainsi beaucoup de malheureux passer d’une opinion à une autre, et nous nous apercevons vite qu’ils n’ont fait que changer de fauteuil : la seule chose qu’ils ne savent pas faire, c’est de se tenir debout.
Georges Bernanos contre l’homme nu devant ses maîtres
« L’homme d’autrefois ne ressemblait pas à celui d’aujourd’hui. Il n’eût jamais fait partie de ce bétail que les démocraties ploutocratiques, marxistes ou racistes, nourrissent pour l’usine ou le charnier. Il n’eût jamais appartenu aux troupeaux que nous voyons s’avancer tristement les uns contre les autres, en masses immenses derrière leurs machines, chacun avec ses consignes, …