« Quel mépris vis-à-vis des traducteurs. Ce travail pourtant représente la dignité de l’art d’écrire, de servir l’esprit. Un auteur digne de ce nom devrait considérer de son devoir de mettre en circulation les œuvres avec lesquelles il est en affinité ». Ainsi s’exprime Armel Guerne, en 1977, pour le journal Sud-Ouest. Le poète passeur …
