Mus par un sang noir hautement concentré, les hommes des bois sacrifient toute concession aux exigences de la vie normale (confort, hygiène, sociabilité) sur l’autel d’une existence entièrement adonnée à la forêt. Comme ce fut le cas pour leurs prédécesseurs illustres ou restés dans l’ombre, la force de cet enfièvrement particulier fait d’eux d’irréductibles êtres …