Hart Crane n’est pas un poète limpide, sensuel. Il est plus incantatoire, plus pénétré de langue précise et de formes exigeantes. Il nous demande de l’écouter attentivement, de le relire, de le sonder.
Le voyage qui n’en finit jamais – Ultramarine, de Malcolm Lowry
Dans ce huis-clos, les petites aventures se content en de larges tournants, les anecdotes mythomanes se confondent au vécu, alors qu’Hilliot, pris en grippe par une grande partie de l’équipage, le grand et fier Andy en tête, au menton perdu pendant la guerre, tente moins de s’en faire accepter que de supporter cette mise à l’écart du rang des mâles solides.