Creuse, trouve
« La bonne prose est comme une vitre transparente.» George Orwell George Orwell, dans « Pourquoi j’écris »*, détache, en 1946, quatre grandes motivations à l’origine de tout acte d’écrire : Avec facétie et fluidité, Deborah Levy, anglophone élevée dans les années 60-70 entre l’Afrique du Sud et l’Angleterre, s’empare de ces pistes et bat les cartes pour …
Comme l’a observé Christopher Hitchens ( Why Orwell Matters, 2002) : « la lecture d’Orwell ne vous incite pas à blâmer autrui ; elle vous enseigne à assumer vos propres responsabilités, et c’est précisément pourquoi il sera toujours respecté et aussi détesté. Je ne crois pas qu’il aurait voulu qu’il en soit autrement. »
« Je n’ai rien fait qu’être là, ces trois dernières années. Je me suis mis à la place de l’autre, et j’ai refusé de choisir un camp. »
« Il est bien plus simple d’agir sur les mœurs de la société que sur son organisation. La focalisation sur des sujets sociétaux permet de passer pour révolutionnaire à moindre frais, puisqu’ils sont largement solubles dans le capitalisme. C’est autant vrai à l’extrême gauche qu’à l’extrême droite ! »