Hart Crane n’est pas un poète limpide, sensuel. Il est plus incantatoire, plus pénétré de langue précise et de formes exigeantes. Il nous demande de l’écouter attentivement, de le relire, de le sonder.
Arthur Cravan, précipité par Lacarelle
« Quelqu’un obstinément cherche à sortir de moi » Arthur Cravan. Les noyés sont des prophètes qui parlent la langue des signes dans des gestes si lents qu’ils balaient notre mémoire. Bertrand Lacarelle. « La mort dans les flots est-elle le dernier mot des forts ? » Robert Desnos. Nous avons tous les trois trente ans. L’un, Fabian Lloyd, …