Il y a quelques mois, bien entouré d’autres, j’ai lu ce poème Ni chagrin d’amour ni combat de reptiles. J’ai pensé me faire tatouer le titre sur le bras, comme une bravade mystérieuse vers des ennemis invisibles et des copains imaginaires. Mais son auteur, l’étrange et magnétique Toulousain de la casse, Heptanes Fraxion, m’a suggéré …
